Elève ingénieure à l’ENSIL-ENSCI de Limoges
Ancienne étudiante de PT* du
Lycée Vaucanson
Promotion 2017
Camille choisit en 2015 la PTSI/PT de Vaucanson sans avoir fait de SI au lycée, après l’obtention d’un bac SSVT :
« J’ai passé un bac S SVT. En ce qui concerne mon niveau dans la classe, j’étais dans les premiers. Je dirais que j’étais 3ème en classe de 1ère (lycée Schweitzer de Mulhouse) et dans les 10 premiers en terminale SSVT (lycée Pierre-du-Terrail de Pontcharra). »
L’équipe pédagogique et le mode d’enseignement ont joué un rôle décisif dans son choix d’étudier à Vaucanson:
« Madame Balzer, professeure de physique, est venue présenter la prépa PT du lycée Vaucanson lors d’un forum organisé par le lycée Pierre-du-Terrail. C’est elle qui m’a donnée envie de venir à Vaucanson. De plus, je savais que la prépa MP ne me convenait pas et j’hésitais à aller en PC. La prépa PT était un bon compromis, grâce à la proportion équivalente des matières scientifiques: mathématiques, physique et SI. »
Lors de ses années en CPGE, Camille rencontre plusieurs défis qu’elle réussit à relever:
« J’ai réussi à décrocher la classe PT étoile à la fin de la première année de PTSI. Mes profs de première année m’ont fait confiance pour m’accrocher.
Même si on savait que j’aurais du mal (j’étais quinzième en première année), j’ai tenu bon. Sans surprise, je me suis retrouvée en queue de classe. Il a fallu assumer les cours, les difficultés toujours croissantes, le classement… Malgré tout cela, j’ai eu la chance d’être épaulée par mes profs et les autres élèves de la classe.
Même avec une deuxième année de PT* parfois difficile, elle aborde le concours sereinement et réussit à intégrer une Ecole qui lui convient du premier coup :
« C’est grâce à eux que j’ai pu me retrouver devant ma copie lors des concours sans être paniquée. Au final, sans avoir des notes exceptionnelles, j’ai eu la grande satisfaction d’avoir de meilleurs résultats aux concours que pendant toute l’année. Aujourd’hui, je suis en mécatronique à l’ENSIL-ENSCI à Limoges qui fait partie des dix premières écoles de mécatronique en France. Conclusion ? Il ne faut pas avoir peur de demander des écoles peu réputées. Pour ceux dont la réputation et le classement tiennent à cœur, on peut parfois avoir de belles surprises.